Publié le 2024-01-032024-01-04

Denise Leroux

1943 - 2023 (80 ans)

Elle demeurait à Lévis depuis septembre 2020 et a vécu pendant de nombreuses années à LaSalle et Lachine

Témoignage(s) de sympathie

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À : Chistiane et Normand
De : Patrice Byloos
Message :
Chère Christiane et Cher Normand,
C'est avec émotion que j'ai appris la triste nouvelle du décès de votre mère. Il aura donc fallu que son sort s’arrête ici, en plein hiver, le jour du réveillon de Noël, juste à l’aube de la nouvelle année. Cela m’attriste vraiment beaucoup pour vous, votre famille, ses proches et tous ceux et celles qui l’ont connu, aimé et estimé.
Vous voilà désormais face à l'absence qu’elle laissera, irrémédiablement. La vie et le destin; cette chevauchée, à travers l'espoir et la détresse, est toujours déconcertante.
Le jour même où ses yeux bleus ont cessé de briller, je lui avais fait parvenir mes meilleurs vœux de circonstance en cette période des fêtes. Je le faisais d’ailleurs immanquablement, depuis longtemps, sans attendre une réponse, connaissant sa condition des dernières années.
Avec certitude, vous saurez rendre un bel hommage à votre mère. Vous l’accompagnerez sobrement, comme elle aurait voulu que ce soit, très certainement. Vous l’accompagnerez, à son rythme, jusqu’à la fin. Vous trouverez les mots justes et respectueux envers celle qui fut votre mère et qui vous a tant donné et tant aimé.
Moi, je retiendrai des principaux traits de personnalité qu’elle avait; son grand cœur, sa bonté, son sourire et sa générosité envers les autres.
Malgré cette libération probable, ce deuil me donne à penser que les gens vieillissent et que les seules emprises que nous ayons ne sont souvent que des illusions. Toutefois, je pense que les personnes ne meurent vraiment que lorsque qu’elles sont oubliées. De même, je crois aussi que c’est un privilège de savoir que les gens aimés ne nous quittent jamais vraiment. L’amour survit à la mort. Ainsi, elle continuera de vous accompagner dans vos gestes au quotidien. Après, viendra le temps des doux souvenirs qu’elle aura laissé en héritage. Ils émergeront du passé et sauront, je l'espère, atténuer votre chagrin pour faire place à une sérénité vous permettant d’accepter ce qu’on ne peut changer.
Ensuite, la vie reprendra son souffle, parce qu’il faut bien continuer et aller de l’avant, parce qu’il y a les autres aussi, et surtout, parce qu’autrement, rien n’aurait de sens.
La mort, ce passage obligé, nous confronte toujours au même sentiment : l’impuissance. Je pense qu’il n’existe pas vraiment de mots qui puissent démontrer avec justesse l’intensité de nos émotions devant cette faucheuse, parce que justement, elle a quelque chose de plus grand que nous.
Et puis, les mots nous font souvent défaut pour décrire ce que l’on ressent en de telles circonstances, car même s’ils se veulent chaleureux, ils seront toujours un peu maladroits, et surtout, ne changeront rien.
Quoi qu’il en soit, et puisqu'un chagrin si lourd ne saurait être porté seul, je vous offre mes condoléances pour la perte qui vous afflige et sachez que mes meilleures pensées vous accompagnent.
Bon voyage à toi, Denise.
Sincèrement,
Patrice Byloos

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À : À la famille de Denise Leroux
De : Michèle Beaudry Casey
Message :
C'est avec une grande tristesse que j'ai appris le décès de Denise. Nous nous sommes cotoyées pendant plusieurs années dans le cadre de notre travail à la Ville de Verdun. Collègue hors pair, élégante et fière, grande complice et amie de tous les jours, nous faisions bonne équipe. Je lui ai toujours vouée beaucoup de respect et une grande admiration.

À toute la famille, je tenais à vous faire part de toutes mes condoléances et à partager votre peine en ces moments difficiles que la vie nous impose.

Sincèrement
Michèle Beaudry Casey

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